L’UGA, toujours à la pointe de l’innovation, vient de démontrer par une expérience audacieuse la validité du principe de non contradiction d’Aristote, démentant ainsi la possibilité d’appliquer à la déontologie l’équation de Schrödinger :
Le chat du célèbre physicien pouvait être « en même temps » dans deux états contradictoires, en l’occurrence mort et vivant. Les deux derniers Présidents de l’UGA affirmaient que le Pr. Patrick Lévy, qui avait participé à la commission de sélection des projets du « Cross Disciplinary Program 2016 » (CDP2016), respectait le règlement du CDP 2016, alors même que celui-ci ne prévoyait pas sa présence dans ladite commission. Ils affirmaient également que cette commission (présidée par le Pr. Yassine Lakhnech, à l’époque directeur exécutif de l’IDEX, et donc en charge de faire respecter les règles dans ladite commission) avait eu raison d’autoriser P. Lévy à participer dans ce cadre à un vote concernant le projet LIFE (porté par un de ses proches collègues, le Pr. Jean-Louis Pépin, avec lequel il partageait plus de 100 publications dans les 5 années précédentes), alors que le « code de conduite de l’IDEX » interdisait aux membres de cette commission d’examiner un projet porté par un collègue avec lequel ils auraient eu au moins une publication commune dans les 5 années précédentes. La validité des conclusions de nos deux derniers Présidents avait été attestée par toutes les instances de l’UGA devant lesquelles elles avaient été présentées, et donc il semblait depuis 2017 que l’UGA avait inventé la « déontologie quantique », ébranlant ainsi les fondements de toutes les disciplines scientifiques qui se croyaient soumises au joug implacable du principe de non-contradiction. Ce principe semblait peser inutilement sur la science depuis Aristote.