Ce désengagement financier de l’Etat a directement pour conséquence un écart de 210 ETPT entre le plafond notifié par le MESR et le plafond ouvert par l’établissement au titre des emplois Etat, c’est-à-dire un affaiblissement de notre potentiel de formation et de recherche. Alors que pour l’exercice 2016, l’UGA avait déjà subi une diminution de sa dotation de 9,5M€ assortie d’un prélèvement sur fonds de roulement, nous constatons l’impossibilité structurelle d’un retour à l’équilibre financier.

Outre la compensation intégrale immédiate de l’ensemble des charges financières salariales (GVT, etc.), des coûts induits par la fusion et de la hausse des effectifs étudiants, nous demandons la restitution des sommes qui ont été prélevées et l’attribution d’une dotation pérenne à hauteur des besoins seule à même de permettre un retour à l’équilibre sans porter atteinte à l’ensemble de nos missions.